• Les débuts d'histoires par vous

    Lancez vous dans la lecture de ces histoires, écrivez la suite si vous le souhaitez ou encore, inventez un début d'histoire dans les commentaires des articles vides! 

  • Dalli

    "Les oiseaux gazouillent. Le ciel ne contient aucun nuage. Tout est calme. Tout à coup, le ciel s'obscurcit. Toute la ville est dans l'ombre. Les villageois, intrigués, sont rattroupés dehors, en regardant ce ciel sombre comme s'il faisait nuit, une nuit sans étoiles. Une personne tombe à genoux. Puis dix autres, suivies de cent autres. Je reste la seule debout. Une voix retentit, claire et nette dans cette athmosphère nuageuse. Elle dit mon prénom, suivi de mon nom :

    -Céleste Dreama, viens...

    Mon corps s'élève dans ce ciel brumeux, sans que je puisse faire quelque chose pour l'arreter. Tout devient noir cendre et je sens mon esprit flotter au-dessus du brouillard..."

    a vous de faire la suite dans les commentaires !


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  • Par Lilla ♥

    "Encore de la grenadine", ronchonne Mira tout en fixant le ciel.

    "Qu'est-ce qu'il y a, Mira"? Fait Kyo.

    "J'en ai marre de la grenadine! Il pourraient pas nous mettre de la barbe à papa?!

    - Eh, du calme! On dirait que demain il y aura du coca! Regarde, les nuages sont foncés!

    - Du coca? Qu'est-ce qui te dis que ça sera pas du café?!

    - Positive, voyons!"

     

    Nous habitons sur la planète 1956876, une planète biologiquement contrôlée par les ministres. C'est-à-dire qu'ils s'occupent de choisir ce qui tombera du ciel en guise de pluie par exemple. Ils semblent avoir un faible pour la grenadine en ce moment, car cette semaine, il n'a plu pratiquement que de la grenadine...

    Il s'occupent également de la couleur de la terre (Mira bien quand ils la mettent de couleur mauve, c'est très joli).

    Ils s'occupent de la météo, c'est pour ça qu'il fait toujours bon ici.

    Ils décident aussi du temps. C'est-à-dire, ils règlent combien de temps dure une seconde, une minute... Par exemple, lors d'un événement important, ils rallongent le temps, comme ça l'événement dure plus longtemps. Une fois, pour un carnaval, ils ont tellement rallongé le temps que le temps à faire la fête (une journée) correspondrait en temps normal à un mois! Ils choisissent aussi plein d'autres choses, que je ne vais pas toutes dire.

     

    Le lendemain, Mira rencontre Kyo, pour aller au collège...

    "je t'avais bien dit que c'était du café, pas du coca!

    - Calme-toi Mira!

    - Mais c'est injuste! Bon, je n'ai plus qu'à espérer qu'aujourd'hui ils diminuent le temps des cours et augmentent celui de la soirée..."

     

    Alors qu'ils se disputaient, Mira et Kyo entendirent un ricanement glauque. Ils s'aperçurent que le jour était tombé, et qu'il faisait nuit.

    "M... Mais à quoi pensent les ministres, bégaie Mira. On était le matin il y a quelques instants!

    - Les ministres sont morts, annonce la voix glauque. Maintenant, c'est moi qui dirige la planète! Mouahah!"


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  • Par fanne

     

    Zoé,

    je m'appelle Zoé et avant tout je vous prévient je ne suis pas une poupée!

    Essayez juste de me portez

    Et mon poing vous vous prendrez.

    Arrêtez de me toucher les cheveux,

    Si vous ne voulez pas que je vous crève les yeux.

    Je suis peu être encore une enfant

    Mais j'ai déjà un caractère de grand.

    J'avoue je suis petite

    Et ma force en est réduite

    Mais je suis très résistante

    Et plus que bataillante.

    Vous l'avez compris j'ai un sale caractère,

    Alors courrez si vous ne voulez pas que je vous lance des pierres!

     

    Voilà ce qu'écrivais Zoé sur son cahier pendant que son professeur parlait avec furtilité. "Ce poème est autobiographique " Conclus t-elle et  ces mots la font sourire!

    Par Lilla 9000

    Zoé était une fille très énervée et moqueuse, et un garçon manqué. Personne ne l'aimait, tous la craignaient. Si elle était de mauvaise humeur, il lui arrivait de provoquer quelqu'un, de le taper, de lui crier dessus, de l'humilier. Et chaque fois, les gens qui passaient n'osaient pas intervenir, détournant le regard pour que cela ne leur arrive pas à leur tour. Tous ses caprices étaient satisfaits, il lui suffisait de donner des ordres à son entourage, qui s'exécutait en silence. Elle obtenait tout ce qu'elle voulait, mais elle n'était pas heureuse. Elle était comme ça, Zoé. Mais il y eu un jour où cela changea. Le jour ou Il arriva.

     

    Il était un élève qui est arrivé en cours d'année dans sa classe. Le professeur le présentait à la classe, mais Zoé n'écoutait pas. Elle regarda fixement le nouveau. Droit dans les yeux. Et soudain Il la regarda. Droit dans les yeux, aussi. Zoé baissa le regard, gênée. Les jours suivants, Zoé ne pensait plus qu'à Lui. En classe, elle passait toute l'heure à Le regarder. Elle ne cessait d'espérer qu'Il la regarde. Ce garçon dont elle ne connaissait même pas le prénom, car elle n'avait pas écouté le professeur quand il l'a présenté à la classe. Zoé n'osait lui demander comment Il s'appelait. Elle ne criait plus sur les gens, elle n'y pensait même pas. Elle ne pensait qu'à Lui. Des fois, elle errait dans les rues sans but, ne pensant qu'à lui. Elle traversait la route, sans même se soucier des voitures, qui étaient obligées de freiner brusquement pour ne pas l'écraser.

     

    Puis un jour, elle osa Lui adresser la parole, pour la première fois. Peu à peu, les deux enfants devinrent amis, puis petits amis.

     

     

    Par Fanne :

    on aurait put penser qu'être avec lui la rendrait plus douce...mais au contraire elle devint de plus en plus insupportable si bien que tous la fuyait. Son entourage considérait ceux-là comme une nouvelle crise mais ne réalité Zoé allait mal; elle faisait tout ce qu'elle pouvait pour être parfaite, allait au bout de ses limites et quand tous ne se déroulaient pas comme elle le voulait, elle passait ses nerfs sur les autres. Comme le jours où ses parents lui avait interdit de revoir son petit ami puisque la dernière fois elle était revenue au milieu de la nuit et soûle. La journée qui survint elle raconta des mensonges plus qu'odieux sur une de ses anciennes amie.

    Mais ce qui tracassait le plus Zoé c'est temps-ci était sa taille, ce qui habituellement ne la dérangeait pas du tout devint presque une honte pour elle; d'être si petite. Malgrè ce que disait Anthony, la seul chose que remarquait Zoé a travers le miroir et quand elle était avec lui, c'était la distance qui les séparait. Il la dépassait d'au moins trente centimètre -selon elle- si bien que son crâne arrivait à hauteur de son buste. Et ça Zoé ne pouvait plus le supporter!

    Par Fiphie :

    Un jour elle lui demanda comment il faisait pour l'aimer parce qu'elle, elle se trouvait moche et toute petite. C'est ce jour la aussi qu'elle se rendit compte que personne ne l'aimait car une fille ,avec qui Zoé avait été odieuse, lui a crié : "mais tu n'en a pas marre d'emmerder tout le monde ! Comment fait ton petit copain pour te supporter ? Je t'aurais déjà cassé si j'étais a sa place !"

    après ces paroles, Zoé ne répliqua pas. Elle ne bougea plus. L'autre fille, consciente de l'effet qu'elle avait eu sur Zoé, lui jeta un dernier regard et partit.

    Zoé baissa la tête et une larme coula sur sa joue. Elle se demandai si elle vallait la peine de vivre puisque que personne ne l'aimait, qu'elle était moche et petite.

    Par Fanne 

    Zoé ce senti affecté durant la première semaine qui suivit cette affront mais quand survint les vacances toutes mauvaise idées et souvenirs de cette insulte s'évapora. Elle profitais de son premier jour de repos, près d'une fenêtre tandis que les rayons réchauffaient sa peau quand elle eut envie de sortir. Personne chez elle. Personne pour l'empêcher. Zoé se sentais bien, vraiment bien, elle redevenais petite à petite la gentille fille qui aimait taquiner les autres et faire des roulades dans l'herbes en riant  quand on la poursuivait. La jeune fille ne put s'empêcher de s'asseoir sur un banc et de se demander comment toutes la colère qui était encrée en elle depuis si longtemps avait put disparaître... "C'est surement grâce à Anthony" se dit-elle. "Surement..."

    continuez !!!


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  • Par Fanne

    Début d'un texte (A vous de le continuez chers petits pandas!)


    Mardi 26 septembre               Début de mon journal
    Bon, pour commencer il faut que je vous dise un truc; l'école ce n’est pas mon truc. Déjà en maternelle je faisais n'importe quoi; m'amusant à casser toutes les mines des crayons et à déchirer les feuilles. En primaire; impossible de m'intéresser ou de rester tranquillement assise sur ma chaise bancale; je me cachais dans une des armoires  ou coloriais ma table de toutes les couleurs. Au collège je n'ai pas échappé aux batailles de stylos ni aux multiples heures de colles. Je ne sais même pas comment j'ai réussis à entrer au lycée ni comment mes parents arrivent à me persuader tous les matins de m'y rendre! On m’a enseignée une méthode très efficaces (écoutes-moi bien petit scarabée!): sécher! Ok vous vous attendiez à autre chose, mais bon, c'est la seule qui marche. Bien sûr que ce n'est pas bien et gnagnagna! Mais je fais cela pour le bien de tous; grâce à mon actions je ne serais pas tenter de dire ce que je pense à mes professeurs ni de rabaisser leurs cours et par la suite empêcher MALHEUREUSEMENT les autres élèves de se concentrer! Et comme cela les chers adultes ne connaîtront jamais mon esprit rebelle et ne passeront pas leurs soirée à essayer de comprendre mes paroles qui leurs paraîtraient justement incompréhensible; ils ne me connaitront pas tout simplement!
     Je leurs est tout de même fait  l'honneur de ma présence le jour de la rentrée.
    Voilà pourquoi aujourd'hui je me trouve sur le toit à écrire dans mon journal; pas que cela soit dans mes habitudes d'écrire dans un carnet, même cela est contre certains de mes principes, mais bon  je fais surtout cela pour mes parents. Je m'explique; à-ce-qu'il-paraît tenir un journal me permettrai de contrôler mes émotions, allias mon agressivité. Mais c'est totalement faux! Je ne suis point du tout agressive, c'est seulement ce que dise les personnes impossibles de raisonner correctement ou d'avouer à mes parents qu'ils ne comprennent seulement rien. Bon j'avoue je ne leurs facilite pas la tâche, normalement je n'en aurais pas besoin donc


    Mirage entendit un bruit tandis qu'elle était agenouillée. Elle rangea son carnet et se cacha derrière l'entrée. La porte s'entrouvrit et la jeune fille jeta un coup d'œil...


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  • Par Merry Christmas

     

    L'histoire se passe dans un monde fantastique où le danger est partout, sauf dans les zones de protection... Dans ces zones, on ressemble à tout être humain normal, mais en dehors, on peut être un elfe, un vampire, un fantôme, une fée, une sorcière et bien d'autres créatures ! A l'extérieur, on possède des pouvoirs et devont nous battre avec des monstres ou avec d'autres habitants s'étant laissés tentés par les Zones à guildes obscures (ZGO)... Dans les Zones normales, on peut trouver des commerces où l'on vend des objets en rapport avec notre espèce et pouvoir. pour cela, il faut montrer sa carte d'identité que le vendeur demande.

    Meika vit avec sa mère et son frère de 14 ans dans la zone de protection (ZP) n°53. Elle a aujourd'hui 16 ans. Depuis ses 9 ans elle attendait d'avoir 16 ans pour pouvoir partir de la maison et explorer ce monde qu'elle n'avait jamais pu voir. A peine a-t-elle soufflé ses bougies qu'elle veut déjà aller faire son sac. Pourquoi est-elle si pressée ? C'est qu'elle veut retrouver son père et faire équipe avec lui. En effet, il est parti à l'aventure il y a de cela 7 ans. Il appelle de temps en temps sa femme, lorsqu'il a le temps.

    Une fois partie, 2 jours après son anniversaire, Meika est prête à franchir le portail pour sortir de la ZP et va découvrir son espèce; est-elle sorcière, fée, vampire ?

    Après quelques secondes d'hésitation elle ferme les yeux et franchit le passage. elle sort un miroir de son sac et voit qu'elle est... toujours pareille ?! Elle recommence l'opération encore 5 ou 6 fois et commence à paniquer; elle se demande si son père n'a lui aussi pas changé ? Et d'un coup lui vient pleins de questions sur lui du genre "et s'il était dans une ZGO ?" ou "me reconnaitra-t-il ?"...

    Une fois calmée elle remarqua qu'elle avait une épée et qu'elle ne portait pas tout à fait la même tenue; elle avait une armure... Elle saisissa son épée et l'agita. Après ça elle avait compris ce qu'elle était: elle était humaine seulement avec un pouvoir très puissant, celui d'invoquer des armes et armures, et elle les maitrisait. Elle l'avait compris comme ça, d'un coup, en agitant son épée ! Elle était motivée, elle était déterminée, elle allait retrouver son père et combattre à ses côtés !

     

    A vous d'inventer la suite dans les commentaires !!!


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  • Par CoupdePoing

     

    Aujourd'hui c'est la rentrée !!!!!!!!

    Je vais enfin être en troisième ! Le petit problème c'est que pendant les vacances j'ai déménagée alors je vais dans un collège que je ne connais pas... Je ne connais personne mais c'est une occasion pour agrandir mon cercle d'amis !

    J'interomps mes pensée car je vois l'heure, il est temps de me préparé, j'enfile le premier jean qui me viens sous la mains et je choisis un tee-shirt un peu au azars... Je me coiffe, dejeune, me brosse les dents...

    Ensuite je vais au collège, je ne connais, pas trop le chemin, même si j'y suis aller  au moins 10 fois, mais j'ai vraiment un mauvaix sens de l'orientation, je pars donc plus tôt. Après mettre jste un peu perdu, j'arrive au collège. Il y a pleins de monde ! Les profeuseurs principal de chaque classe disent les noms des personnes dans leurs classe, plus les noms passe et plus je suis exité à l'envie de me retrouver dans une bonne classe. Je me retrouve dans la 3emeC.

    J'entre dans ma classe. Il ya à pleins  de gens que je ne connais pas mais que j'ai envie de connaitre ! 

    Je vais m'assoir à une table. Le prof nous explique pleins de chose dont je me moque, je n'écoute pas mais examine mais nouveau camarade de classe. J'entends un garçon dire :

    - Regarde la meuf la-baas (il me pointe du doigt) elle est super canon !

    - Ouais ! je vais aller la voir à la fin du "cours d'expliquation" dit son ami

    - Je l'ai jamais vu...

    - Moi non plus ça doit être une nouvelle...

    Je n'écoute pas la suite de leur conversation car je n'en ai as envie. Un peu plus tard, un garçon entre en classe accompagné d'un autre profeuseur, le prof dit qu'il est dans notre classe. Il s'assoit à côté de moi, il est plutôt beau. C'est une chance pour moi de me faire un ami ! J'essaye d'entamé la conversation et lui chuchotte:

    - Bonjour, je m'appelle Hisoko et toi ?

    - Kyo.

    - C'est un jolie prénom, ça va ?

    Il ne me répond pas... Je me suis pris un vent... Tant pis, il est très froid mais je pense qu'il peut être sympatique... Je regarde tous les élèves, ils ont presque tous l'air gentils ! Tant mieux ! C'est la fin du cours, deux garçons s'approche de moi...

     

     

     

    Par Lilla 9000

     

    "Eh, s'écrie le premier garçon, tu as mis tes chaussures à l'envers".

     

    Je vérifie. Les garçons ricanent. Elles sont à l'endroit, c'est une farce.

     

    Non convaincue du bien-fondé de cette blague stupide, je répond: "Très drôle.

     

    - Ah ah ah, s'écrient les garçons. Tu sais que t'es moche?

     

    - Pardon?

     

    -  T'es sourde, la vieille?!

     

    - Laissez-moi tranquille à la fin!

     

    - Nan, espèce de..."

     

    Ils m'injurièrent tant et si bien que je m'enfuis en courant. Le lendemain, après les cours, Kyo me dit:

     

    "Hisoko! Euh... Tu as mis tes chaussures à l'envers."

     

    Ce qui me mis dans une rage terrible, je gifle Kyo et m'enfuis en courant. Arrivée chez moi, je me rend compte que cette fois mes chaussure étaient vraiment à l'envers...

     

    Par Fanne :

     Après la honte que je m'était pris j'hésitai encore à retourner au collège. Mais selon ma mère je n'avais pas de raison suffisante pour louper ne serais-ce un cours, comme si montrer a tous le monde que je suis une idiote n'était pas une raison suffisante! Ah les parents ne comprenne jamais rien; c'est pourquoi je me retrouve assise en plein cours à guetter les regards des autres.

    Et étrangement personnes ne me regarde bizarrement ni ne chuchote près de moi. Cela aurait du me soulager mais au contraire, j'ai presque peur qu\
    -Hisoko! Dit le professeur, veut-tu bien venir factoriser et réduire l'équation pour que je puisse voir si tu as le niveau.
    "Le niveau!? Il se fiche de moi, bien sur que j'ai...mais qu'est-ce qu'il a marqué!, c'est quoi ce signe? Je n’ai pas vu ça moi.... et merde! Je vais enfin pouvoir prouver à tous que je suis juste une grande cruche!" Je jette un regard plaintif a Kio, ou koui ("Mais c'est quoi déjà son nom?" me demandais-je.)
    Je lui chuchote un petit: -Kouy...?
    Il me répond doucement:
    -C'est Kyo. Qu'est-ce que tu veux?
    -C'est quoi la répons...
    -Hisoko! Dépêche toi viens au tableau.
    Je murmure un petit "oui, oui" et m'avance jusqu'au tableau, j'attrape une craie et ai la mauvaise idée de regarder derrière moi. J’aperçois toute la classe; au fond il n'est pas question de bosser je crois même qu'ils dorment, devant ils attendent patiemment la réponse et quand je me retourne je sens tous leurs regards tel des couteaux près à m'empaler.
    Je regarde les chiffres et essaye de me rappeler ce que j'ai appris...en vain.
     J'entends le prof qui demande:
    -Qu'est-ce qui se passe? On ne va pas y prendre la journée.
    Et c'est là que j'entends la voix de Kyo qui annonce:
    - Ce n’est pas la peine, elle ignore la réponse. Elle ne veut juste pas passer pour une idiote alors qu'elle sait qu'elle va marquer que des conneries. Disait-il avec un grand sourire sournois. Ce n’est pas vrai Hi-so-ko?

     

     Suite par moi (fiphie)

    -heu..je...

    je deviens toute rouge, ouaw, la honte ! Tous le monde ris..

    Le professeur prend la parole :

    -c'est bon, assez perdu de temps ! Hisoko, vas t'assoire et tache d'écouter  !

    -heu...oui...

    je retourne à ma place et jette un regard furax a Kyo. Je le déteste , il m'a ridiculiser devant toute la classe mais en meme temps, au moins, je ne suis pas obligée de répondre des conneries et d'être encore plus ridicule...mais je ne peux pas m'empecher de le détester ! après tous c qu'il m'a fait !

    -Kyo, viens le faire à sa place !

    hihihi, on va voir si il y arrive lui ! Tu fais moins le malin hein?

    Il se lève, va au tableau et écris quelque chose que je ne comprend pas...c'est a dire la réponse...

    Il me regarde, l'air de dire : trop facile. et il va s'assoir.

    -Oui c'est ça ! dit le professeur.

    pfff...j'en ai marre.

    *Driiiiiiiiing* ouf, enfin!

    Je prend ma trousse et mes cahiers pour les fourrer dans mon sac.

    -Tu me fais la gueule ?

    Je me retourne, c'est Kyo. Je réplique :

    -T'était obligé de me ridiculiser devant tous le monde ? ça t'a pas suffit hier ??!!

    -Je t'ai pas ridiculisé, au moins, tu t'es pas pris la honte a mettre n'importe quoi, et puis c'est pas de ma faute si t'es devenue toute rouge ! Et d'abord, hier, c'était aussi pour t'aider puisque c'était vrai que t'avais mis tes chaussures a l'envers !

     

    Par Fanne

    -Je...
    "Enfaîte il a raison, il a juste dit la vérité et m'a empêcher d'écrire n'importe quoi...Mais je me rends compte que je le dispute aussi parce que je suis jalouse! Ah je suis tombée bien bas..."
    -Je m'excuse, repris-je,...je...
    Il hausse ses sourcils et réplique:
    -On ne s'excuse pas soit même.
    J'ai un petit blocage avant de répondre:
    -Bon ok, je suis désolé, mais est-ce que par hasard tu pourrais me donner quelques cours de Maths car à ce que je vois j'ai assez de retard.
    -Beaucoup de retard plutôt. Répondit-il.
    "Ce mec à le don de m'énerver et si je me retenais pas je sauterais dessus" Pensai-je.
    -Mais je suis d'accord, aujourd'hui il y a des cours de soutient  jusqu'a dix huit heures dans la salle cent deux tu n'auras qu'a y emmener ton livre et je t'enseignerai les bases je pense que tu en a besoin. 
    Après cette réponse il disparut dans le couloir. Il ne fait que de me rabaisser cet idiot! Enfin idiot...façon de parler, je viens d'ouvrir mon livre de maths et je ne comprend même pas certains titre de chapitre. "Le second degré On m'avais dit qu'on apprendrais cela en première!
    "Bref je suis plus en retard que je ne le pensais!"
    Je marchais jusqu'a la salle 221, où normalement devrait se dérouler mon cours de physique, quand, plongée dans mes cahiers, je bousculai une élève. Elle s'étala par terre avec quelques-unes de mes affaires que j'avais lâché. Je lui tendis ma main, qu'elle rejeta d'un geste rapide.
    -Regarde devant toi quand tu marche. M'ordonna t'elle tandis qu'elle se relevait.
    La jeune fille m'arrivait au menton et portait un uniforme presque trop grand pour elle. Des cheveux roux bouclés encadraient son visage pour retomber sur ses hanches. Les manches de son haut cachaient ses mains mais dévoilaient ses ongles roses vernis. Elle aurait put être ma petit sœur si son visage n'était pas presque adulte.
    J'arrêta de l'examiner et ramassa mes affaires pendant qu'elle s'éloignait. "Drôle de fille" me disais-je.
    Mes cours suivant se déroulèrent sans erreur, je comprenais presque tous ce qu'annonçaient les professeurs et m'étais-je fait remarquer par les autres? Non pas du tout, on dirait presque qu'ils ne m'avaient jamais vu.
     "Les imbéciles!" Rajoutais-je pour moi et cette pensée me fit sourire.
     J'avais presque oubliée mon cours de soutient...presque.

     

    Par moi : Fiphie ^^

    ça sonne. je range mes affaires et me dirige vers la salle 102, "j'ai comme l'impression que je vais me perdre avant d'y arriver..."pensais-je.Et...j'avais raison...10 minutes plus tard, aucune salle 102 en vue...Je croise alors le surveillant:

    -excusez moi monsieur, je cherche la salle 102...

    - La salle 102 ? Mais ce n'est pas du tout ici, c'est au dernier étage a gauche !

    Et il part.

    "Au dernier étage?je suis pas arrivée..." je commence a monter les escaliers en courant sans regarder devant moi

    2 minutes plus tard, il ne me manque plus qu 'un étage ! Je cours toujours, et arrivée en haut, je heurte quelqu'un de plein fouet ("c'est pas mon jour, c'est la deuxieme fois en une journée !") et je tombe par terre sur le dos et la personne que j'ai heurté avec. "Aieee"

    -Pardon, j'était pressée et j'ai pas regardé ou j'allais ! dis-je avant de me lever et reconnaitre Kyo, au sol, se tenant le bras.

    -tu pourrais faire attention ! Déja que t'ai en retard !

    - Excuse moi, je m'était perdu...

    -t'es vraiment pas douée...

    "et le voila repartit>w<"

    -Pardon pardon pardon ! Je t'ai fait mal ?

    -non, ça va...dit il en se relevant.et toi,rien de cassé ?

    -heu, non, ça va, ça va...encore désolé...

    -C'est bon, c'est pas grave...mais fais attention quand meme...

    -oui oui...dis-je timidement.

    -Bon, avec ça on a perdu 15 minutes ! et je compte pas rester ici jusqu'a demain. On y va ?

     Par Fanne :

    Nous nous dirigeâmes vers la salle en question et après s'être assis, il commença à tout m'enseigner. Ses phrases étaient claires et toujours expliquées intelligemment donc à chaque fois que je posais une question je réduisais à néant ma fierté. Et malgré les apparences et son mauvais caractère je passai un super moment, surtout qu'a chacune de mes bourdes il me tapai gentiment la tête ou éclatai de rire-ce qui me vexait un peu puisqu'il se moquait de me stupidité --'.

    A la fin de l'heure j'avais la tête comme une purée -en parlant de nourriture; réfléchir ça creuse!- et les bras chargée de feuilles révisions. Je saluai Kyo qui me fit un grand sourire en me disant:
    -Tu as intérêt à bosser ce soir, d'un air plus-que menaçant après de disparaître.
    A la fin de la journée -et après avoir un peu travailler- je me dis qu'il fallait que je rencontre un peu les gens de ma classe.

     Par Lilla 9000

    Rassurée, je m'assied sur un banc, puis attend. Soudain, deux garçons arrivent. Je crois qu'ils sont dans ma classe, leurs visages me sont familiers. 

    "Euh... Bonjour!

    - Te fatigue pas, ricane le premier garçon, on n'en a rien à faire de la politesse ici!

    - M... Mais...

    - Il n'y a pas de "mais! Tu vas venir avec nous, ok?!

    - Non, dis-je en sanglotant, laissez-moi tranquille!"

    Le deuxième garçon me soulève du sol et me porte jusqu'à une camionnette jaune, malgré que je me débatte comme une folle. Il est trop fort, je n'ai aucune chance contre lui... J'allais renoncer, quand soudain, je me rappelle d'un chose: mon portable! Très très vite, je le sors et appelle ma mère. Oh malheur, ça ne capte pas!

    "Ca ne sert à rien, ricane le deuxième garçon, ton téléphone ne te sauvera pas!"

    Il me fait monter dans la camionnette, puis s'installe avec son complice. La camionnette démarre. Cinq minutes plus tard, je me rend compte que nous sommes toujours dans la rue de la nuit! 

    "Bon sang, que je grimace, elle est infinie cette rue ou quoi?

    - Oui, elle est très grande répond le premier garçon. Elle fait environ cinquante kilomètres de longueur!"

    Cinquante? Il se moque de moi! N'empêche, voilà dix minutes que nous roulons, et le bout de la rue n’apparaît toujours pas... Je regarde les maisons, pour voir les numéros de la rue, et... je panique!

    "QUOI!!!! Il N'Y A PAS DE NUMEROS DE RUE, ai-je hurlé.

    - Moins fort, fait le deuxième garçon. Au fait, ne t'inquiète pas, nous ne te voulons aucun mal. Nous t'avons kidnappé pour ton bien.

    - ET VOUS VOULEZ ME FAIRE AVALER CA? ET J'HURLE SI JE V...

    - On est arrivé, me coupe le premier garçon."

    On descend de la camionnette, pour aller dans une maison délabrée. Leur repaire sûrement... Ils me demandent de m'asseoir. Le deuxième prépare un thé. Tout le monde s’assoit. Les deux kidnappeurs boivent leur thé, et me demande de faire de même. Ils ont l'air plutôt pacifiques, pour des délinquants! En temps normal, j'aurais sûrement refusé de boire cette boisson, qui est peut-être empoisonnés... Mais là, soudain, un sentiment de confiance m'envahit et je me met à boire mon thé. Je constate que c'est du thé au citron, tout simplement.

     

    "Jusqu'ici, nous avons fait semblant d'être de kidnappeurs, pour qu'ils ne s’aperçoivent de rien, disent les garçons. C'est ce garçon, Kyo... Il veut ton malheur. Il vaut mieux que tu restes ici en attendant qu'ils ne partent. Ils, c'est le clan de Kyo. Ils rodent un peu partout. Il veulent ta mort. Ils vont chercher pendant quelques temps, et au bout d'un moment ils croiront que nous t'avons tué, et arrêterons de se soucier de toi. Ils ne pourront pas rester dans la région très longtemps, car la police est sur leurs traces et ils vont bientôt devoir partir. Tu devrais rester ici. Ici, c'est la rue de la nuit, c'est une rue magique. Ici, tu n'as rien à craindre, sauf aux extrémités de la rue, où on peut se faire espionner. C'est pour ça qu'on a fait semblant de te vouloir du mal en t'amenant ici, c'est parce qu'on était à l'extrémité de cette rue."

     

    C'est invraisemblable, cette histoire, mais pourtant je me met à les croire. Les deux garçons se présentent. L'un est Hiroto, l'autre Seiji Marc. 

    "On ne peut sortir de la rue que la nuit, explique Hiroto. Le jour, la rue de la nuit disparaît du monde des humains.

    - Quoi, elle disparaît?!

    - Oui. Si on essaye de partir d'ici en plein jour, on se retrouve dans un monde magique est dangereux. Par contre, si on essaye de partir d'ici la nuit, on sera revenus dans le monde normal.

    - Je suppose que je dois vivre ici pendant quelques semaines, le temps que ce clan parte de la région? 

    - C'est ça, dit Marc. En attendant, il faudrait que tu t'habilles à la mode d'ici," enchaîne-t-il en apercevant ma veste et mon jean.

    Soudain, je vois que les deux garçons portent des vêtements complètement démodés. 

    "Ah bon... Zut!

    - Va dans la salle d'à côté, dut Hiroto, tu auras de quoi t'habiller convenablement."

     

    Je vais dans la salle d'à côté. Je vois plein de robes, toutes très longues et avec des rubans partout! J'en essaye une, puis me contemple dans un miroir. Ca ne me va pas si mal, finalement... Je retourne dans la pièce d'à côté, et les deux garçons ont l'air satisfaits.....

     

     

    Les jours suivants, je commence à prendre connaissance avec mes voisins. Je me suis fait une amie, c'est la fille d'une voisine très gentille qui s'occupe d'un poulailler. Souvent, on se balade toutes les deux dans la rue. Elle m'a appris à tricoter. Moi, je lui ai appris à se servir d'une calculette, et elle a trouvé ça très pratique. Souvent, le jour, on s'aventure très loin, pour retrouver le bout de la rue. Après notre rue, il y a de l'herbe bleue, et des sortes de dinosaures roses. J'ai très envie d'y aller, même si mes kidnappeurs me l'ont interdit, et que ma nouvelle amie m'a dit que la seule fois où elle y allée, elle s'est fait piétiner par une souris géante, et qu'on l'a retrouvé inconsciente et qu'elle a failli y passer. Pourtant, j'ai tellement envie d'y aller.....

     

    Par Fiphie (moi)

    J'avais même tres envie d'y aller.Ma curiosité allait l'emportait.

    il se faisait tard et j'étais fatiguée mais je décidais de jeter un coup d'oeil de l'autre coté quand quelqu'un m'attrapa le bras et me le serra.

    "-N'y vas pas."

    je me retournais pour distinguer un visage encapuchonné d'ou ressortaient des mèches chatains. c'était Marc.

    Marc était à la fois réconfortant et mystérieux. Comme je ne réagissais pas, il serra plus fort mon bras. J'avais mal.

    -tu me fais mal Marc lachais-je d'une voix que je voulais dure. Mais elle se brisa. Des larmes coulaient a présent sur mes joues gelées. Je ne pleurais pas parce que j'avais mal, mais parce que d'un coup, toute la pression que j'avais depuis que j'avais été "kidnapper ?", "sauvée?", bref depuis ce moment, j'étais perdue, j'avais peur, je pensais a ma mère, ma famille, je ne savais pas ce que je faisait là.  dans une rue longue de 50 km. C'était arrivé si vite. Et Kyo...je le pensait etre mon ami...je crois même que j'étais tombée amoureuse de lui.

    Marc, voyant mes larmes ne lâcha pas mon bras, mais le serra moins fort. je m'en voulait de pleurer. j'avais honte. je voulait etre forte. je voulais faire comme si tous ce qui m'arrivait étais totalement normal. 

    -Excuse moi. Je..je ne pensait pas te faire mal.

    -Ce n'est pas ta faute...

    Là, Marc me lacha le bras et me fixa de ses yeux bruns, magnifiques au passage, il ne savait pas quoi dire. Alors, je décidai de continuer :

    -Je suis perdue...je...ma famille me manque...et je ne sait pas ce que je fais ici...*renifle* Je veut rentrer chez moi...

    Marc ne répondit rien, il fut soudain triste.

    -Pourquoi tu ne l'a pas dit plus tot... ?

    Il mis une mèche de ma chevelure deriiere mon oreille. J'avais soudain envie de le prendre dans mes bras. j'avais besoin de réconfort. je me suis alors laissée allée. Mes mains se levèrent doucement vers son corp et je l'étreignis de toute mes forces. je pleurais toutes les larmes de mon corps dans son sweet a capuches. Lui était tout d'abord surpris et crispé mais il s'est détendu et m'a laissé pleuré, me tenant dans ses bras. ça me faisait du bien d'etre serrée contre lui. J'étais sur un petit nuage...j'étais tellement bien...j'avais l'impresion que tous mes problemes disparaissaient d'un seul coup.

    -on devrait rentrer, il se fait tard, me souffla-t-il a l'oreille.

    Il se baissa, pris mes jambes et me transporta. Pendant qu'il marchait, moi dans ses bras,je fermais les yeux et m'endormis.

    Le lendemain, je me réveillais dans mon lit, habillée dans la robe que j'avais pris chez eux. Mon lit. Celui qui est dans ma maison, la vraie, la mienne ! Je me relevais d'un coup. je suis allée regarder par ma fenetre pour voir si Marc était là. Il n'y étais pas. Je me sentie bête tout d'un coup. Il m'avait ramené chez moi, je lui avait demandé. je m'en souviens maintenant.

    Je décidais de me changer avant d'aller retrouver ma mère. Je quittais ma robe et pris un jean et un tee-shirt rose. Je sortais de ma chambre et croisais ma mère, folle de rage en me voyant :

    -Hisoko !!! ou étais tu ? je suis venue te chercher mais tu n'étais pas la ! J'ai téléphoné au lycée et ils m'ont dit que tu n'étais pas venue ! Mon dieu mais ça ne vas pas de me faire peur ?

    Elle parlait a toute vitesse. Je cherchait un mensonge pour m'excuser. je n'allais quand meme pas lui dire : "Oh, maman, excuse moi, je me suis faite enlevée l'autre jour par des gens qui me veulent du bien car Kyo, que je croyais etre mon meilleure ami, me veux du mal. Ils s'appellent Marc et Horoto, ils sont tres gentils et j'aimerais bien aller les revoir !" alors, je lui sortis :

    -J..j'étais chez des amis, excuse moi...

    Ma mère eu un regard sévere.

    -Tu ne vas quand meme pas me faire avaler ça ?

    Je voulu lui répondre :"j'aimerais bien mais je mens tres mal malheureusement..."

    -...

    On sonna a la porte. -sauvée par la sonnette- Je descendis ouvrir. C'etait Kyo,le visage souriant, il avait mis du parfum. Je ne savais pas comment réagir. Je n'ai pas eu le temps de réagir. Je crois que c'est son parfum qui a fait que je me suis évanouie. Je n'ai qu'eu le temps d'entendre ma mère crier :

    -c'est qui ?

    Quand je me suis réveillée -pour la deuxieme fois de la journée...ça commence a etre lassant-, je me trouvait dans une voiture. je voulu regarder à l'exterieur mais la vitre était noir. J'étais baillonée, les mains liées. Mes pieds, eux, étaient libres. j'étais pieds nues.je me suis habillée ce matin mais je n'ai pas mis de chaussures.  Je me souviens! Kyo ! 

     

    Par Fanne

    "Kyo". A présent ce nom ne m'inspirait que haine et méfiance...Il m'aattachée! Mais c'est un taré, un malade mental très dangereux, comment j'ai put ne pas le remarquer?! Bon j'inspirai lentement et suffisamment longtemps pour que je puisse me demander dans quelles situations j'allai mourir -si c'était son intention. Ce qui ne fis que rajouter à mon esprit déjà très désorienté un peu de peur et de folie en plus.

    Le véhicule tourna brusquement, et je vola à travers le coffre pour aller heurter l'autre côtés. D'accord il est très dangereux, mais il pourrait apprendre à conduire...Attend? C'est lui qui conduit?! C'est bon, c'est terminée je vais mourir c'est écrit...

     

    Quelques minutes s'étaient écoutées et aucun accident n'était survenu. La chance était peu être de mon côté, finalement. Je dégagea mon bâillon d'un mouvement brusque de la tête et commença à ronger mes liens sans succès. Mon moral baissait déjà ainsi que ma patience, je me retrouva, telle une furie, à essayer de les briser forçant des deux côtés en éloignant mes poing, puis mettant  mon pied sur la corde en l’abaissant. Malheureusement, je ne réussit qu'a chuter de nombreuses fois et à m'énerver. Maintenant j'avais plus peur de devenir folle que de ce qui me voulais...c'est vrai ça! Pourquoi ce tarée de Kyo m'avait-il enlevé? J'avais plusieurs solutions:

     

    -vendre mes organes aux marché noir: surement dût aux trop de films d'action que j'ai visionnée.

     

    -me noyer au fond d'un lac: il faudrait déjà qu'il  m’assomme et vu  dans l'état dans lequel je suis, ce sera assez difficile.

     

    -me faire du chantage: mais pourquoi m'emmener aussi loin, et qu'est-ce qu'il voudrait qu'il n'a pas...mon cerveau pour résoudre les équations! 

     

    Un rire suraigu me pris et je tomba à la renverse quand le camion freina net. "A nous deux Kyo!" pensais-je.

     

    À vous de continuez !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!


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